Une boulangerie peut enfin ouvrir autant de boutiques qu'elle le souhaite grâce à Hangers
Des soirées à tout réconcilier
Quatre boutiques. Chacune fabrique sur place.
Le patron ferme les portes puis il rallume l’ordi.
Il récupère les ventes de la caisse, les commandes pros arrivées par téléphone, mail, WhatsApp.
Il ouvre Excel. Il additionne, il recopie, il corrige.
Il se trompe, il recommence. Il finit tard.
Le lendemain, chaque boutique part “à l’œil” : l’une manque de matière, l’autre surproduit. Les invendus s’empilent ici, les excuses partent là-bas.
Le déclic en préparant la prochaine ouverture
Il veut ouvrir une nouvelle boutique depuis des années. Son organisation artisanale l’en empêche.
Trop de décisions au jour le jour. Trop d’appels de dernière minute. Trop de fichiers à réconcilier par lui.
La charge mentale explose : prévoir la prod par boutique, ajuster les micro-tournées B2B locales, rassurer un client, combler une rupture… puis tout recommencer.
À l’approche d’une nouvelle adresse, l’évidence tombe : dans ce modèle, ouvrir = doubler le stress du boss.
Il faut une base stable : commandes centralisées, quantités calculées par boutique, appro matières, livraisons B2B locales ordonnées.
Il veut déléguer sans perdre la vision.
Un outil métier, au service du patron et des équipes
Par le bouche-à-oreille, il choisit Hangers, une solution qui parle le langage du fournil :
- Commandes B2C & B2B réunies par boutique au même endroit
- Prévisions de production locales (historique, saison, commandes fermes)
- Appro matières avec seuils d’alerte par boutique
- Bons B2B tracés (contrats récurrents, livraisons locales, facturation)
La caisse, la production par boutique et le B2B vivent ensemble.
Les quantités se calculent pour chaque atelier. L’appro suit.
Le patron garde une vue d’ensemble sans refaire les chiffres la nuit.
Une mise en place qui respecte le four et le comptoir
- 2 jours pour former les référents
- Paramétrage des familles d’articles, tarifs, horaires par boutique
- Import des clients B2B, adresses, habitudes
- Pilote sur une boutique, puis déploiement progressif
Chaque boutique lance ses fournées sur des quantités calculées.
Les vendeurs clôturent la journée dans l’outil.
Le patron ne refait plus le mois en fin de mois : il pilote au fil de l’eau.
Ce qui change au quotidien
Le matin, chaque chef de boutique sait quoi produire.
Les niveaux de matières sont visibles, les réassorts internes sont anticipés.
Les clients B2B reçoivent des livraisons locales avec un bon propre ; la facturation suit sans ressaisie.
Le patron regarde une seule photo du business : ventes, invendus, manquants par boutique.
Il décide vite : déplacer une matière, ajuster une tournée, lancer une mise en avant.
Surtout, il rentre plus tôt. La soirée n’est plus un marathon Excel.
Des résultats concrets, et pas seulement du confort
- Erreurs de livraison en baisse : les bons B2B sont tracés et clairs . –50 % (4 → 2 bons litigieux / 100 livraisons)
- Temps lié à la reprise des bons et de facturation B2B : –66 % (8 h/mois. → 1 h 30, un jour de weekend de plus pour la femme du patron)
- Une heure de sommeil de plus pour le patron : fin des compilations multiboutiques pour la production
- Support rare : ~2,7 appels/an en moyenne (outil compris et adopté, les jeunes adorent)
- Moins d’invendus : –28 % (7,5 % → 5,4 %) : la production colle mieux à la demande dans chaque quartier
- Ruptures pendant le service : –35 % ( → plus de chiffre d'affaire)
Deux ans après : la simplicité qui libère des projets
Deux ans plus tard, le patron mesure combien la simplicité du digital était sous-estimée.
Des écrans clairs. Des gestes stables. Des définitions partagées entre boutiques.
Il a rouvert des dossiers restés au placard : une nouvelle boutique, un canal de commande en ligne, des offres B2B plus carrées.
Il délègue sans crainte : l’information est partagée, tracée, comparable.
L’impact du digital sur le cœur de métier était sous-estimé : moins de friction au quotidien, c’est plus d’énergie pour les projets qui comptent.
Ce qu’ils referaient pareil
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Le pilote boutique par boutique
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La formation courte mais obligatoire
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Le cadrage des définitions dès le départ : commande ferme, invendu, déclencheur de réassort par boutique
“Je ne devine plus. On produit ce qu’il faut, on livre à l’heure… et je dors mieux.”
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