Comment un bureau d'études en bâtiment a pu croître en dépassant son ambition initiale grâce à Pythagore, un outil répondant à ses spécificités métier ?

Piloter un bureau d’études avec Excel, ça marche jusqu’à un certain point.
Quand on veut structurer, croître, responsabiliser les équipes, on se rend vite compte qu'il faut autre chose qu’une compilation de fichiers.
Et ça, Camille, gérante d’un bureau d’études en bâtiment de 25 personnes, l’a très vite compris.
Au début de la création du bureau d'études, la gestion se faisait avec les moyens du bord.
Une fiche projet sous Word, des tableaux Excel maison pour le suivi des temps, des modèles de factures bricolés.
Les chefs d’équipe ? Peu impliqués.
Tout remontait à la direction.
Les projets étaient suivis au cas par cas.
La facturation ? Souvent en décalé.
Et les réunions mensuelles se transformaient en marathons de consolidation de données.
Chaque collaborateur avait ses outils, ses méthodes, ses chiffres.
Résultat : aucun alignement.
Des erreurs.
Des pertes de temps.
Et des tensions.
Et pourtant, l’ambition était là.
Camille visait une croissance maîtrisée, autour de 50 salariés.
Et elle savait déjà que son organisation ne serait plus tenable.
Sans une meilleure visibilité, elle allait droit dans le mur.
Un outil pensé par des ingénieurs, pour les ingénieurs.
C’est un chef d’équipe fraîchement arrivé dans la structure qui lui parle de Pythagore.
Lui l’avait utilisé dans une précédente entreprise et il savait qu’il tenait là un atout.
Camille découvre alors un logiciel différent.
Pas une solution de gestion généraliste qu’on tord pour qu’elle fasse le job.
Un outil né dans les années 90, conçu dès le départ pour les ingénieurs, et affiné depuis plus de 25 ans au fil des retours clients pour répondre au mieux aux réalités métier.
Pythagore gère tout ce que les autres ne savent pas faire.
Les co-traitances, les révisions de prix, les sous-traitants avec des taux de TVA différents, les tranches conditionnelles, les avenants.
Et surtout, il parle le même langage que les équipes.
Pas besoin d’expliquer ce qu’est une affaire, une tranche, une revue de projet.
Tout est intégré nativement.
Mais ce n’est pas tout.
L’équipe derrière Pythagore, c’est une équipe à taille humaine, stabilisée, disponible.
Des interlocuteurs qui connaissent leurs clients.
Certains sont là depuis 20 ans.
Et ça, pour Camille, c’est un gage de fiabilité et de sérénité.
Une fois la décision prise, tout est allé vite.
L’équipe Pythagore a récupéré les données existantes et a pré-paramétré l’outil en fonction de l’organisation du bureau.
L’outil a été déployé à distance.
Les équipes ont été formées par petits groupes, selon les profils et le rôle de chacun.
Pas de blabla inutile : un chef de projet ne passe pas sa journée à apprendre à faire des factures.
Résultat de cette méthode d'intégration ?
Une prise en main rapide.
Un outil qui centralise toutes les données.
Et des processus qui tournent, même en cas de croissance.
Une croissance au-delà des espérances
Aujourd'hui, l'entreprise est montée bien au-delà de son ambition initiale.
Elle compte 80 salariés.
Et Camille n’a jamais eu à changer d’outil, parce que Pythagore l’a suivie tout au long du chemin.
Elle ne perd plus de temps à rassembler l’info, elle l’analyse.
Ses équipes sont responsabilisées.
Le pilotage est clair, partagé et efficace.
Grâce à l'automatisation d'une partie du travail administratif, l'entreprise gagne chaque jour plus d’une heure par collaborateur.
Les erreurs de facturation appartiennent au passé.
Pythagore est devenu plus qu’un outil : c'est un socle.
Il n’a pas seulement structuré l’organisation, il a permis d’infuser une culture de gestion à tous les niveaux.
Les chefs de projet sont désormais acteurs, pas simples exécutants.
Ce cadre permet à l’entreprise d’évoluer, de se projeter, de se structurer.
Et de croître, sans se perdre.
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