3 semaines pour éviter la faillite : comment IT Project a sauvé une PME industrielle

10 ans de stabilité... jusqu'à la faille

Julien est DSI. Il pilote toute l'informatique d'une PME industrielle de 250 collaborateurs.
Leur métier est de concevoir, fabriquer et revendre des échelles pour les pros dans toute l'Europe.

Pour gérer tout ça, ils s'appuient sur Divalto Infinity depuis 10 ans.
Un ERP solide, adapté à leur organisation, qui tournait sans accroc.

Jusqu'au moment où tout a basculé.

Trois projets lancés, une entreprise à l'arrêt

Leur intégrateur a voulu lancer plusieurs chantiers en même temps : montée de version + évolutions fonctionnelles + fusion de bases.
C’était censé améliorer la performance.
En réalité, ça a tout paralysé.

Pendant deux mois :

• plus de stocks fiables,
• plus d’ordre de préparation cohérent,
• les équipes devaient aller vérifier à la main dans les réserves.

Une ancienne sauvegarde était devenue plus fiable que leur Divalto actuel...

Quand le DSI devient pompier de crise

Encore quelques semaines comme ça, et c'était la clé sous la porte.
Les commandes s’accumulaient, les stocks ne suivaient plus, les clients s’impatientaient.
Il fallait agir. Et vite.

Julien a listé tous les intégrateurs Divalto qu’il a pu trouver dans les publications officielles, les forums, son réseau.
Il les a tous contactés avec un seul brief : remettre l’ERP en route le plus rapidement possible.

IT Project, contacté par LinkedIn, lui a répondu dans la journée.

21 jours pour reconstruire un système viable

Le nouvel intégrateur a tout de suite compris l'urgence.
Pendant une semaine, IT Project a travaillé jours et nuits avec ses équipes.

Ils ont repris les stocks depuis la base historique, analysé les mouvements, puis reconstitué les bons niveaux.

Trois semaines plus tard, tout était aligné : le système et le terrain étaient de nouveau raccord.

Changer d’ERP ou réparer intelligemment

Aujourd’hui, l’entreprise tourne, et mieux qu'avant.
Ils ont même mis en place Divalto Weavy, leur CRM mobile.
Ce qui semblait inconcevable il y a quelques mois, où il était question de se séparer de Divalto.

Cerise sur le gâteau ? Un trophée de fidélité leur a été remis récemment par l'éditeur, alors qu’ils étaient à deux doigts de tout quitter.

10 000 euros et trois semaines de travail.
C’est tout ce qu’il a fallu pour éviter un projet à 200 000 euros sur deux ans.

Ce qui a rendu possible ce sauvetage, c'est d'avoir trouvé le bon partenaire.

Changer d’intégrateur : un défi réussi !

En trouvant le bon intégrateur, Julien n’a pas tout cassé.
Il a réparé.

Un bon intégrateur, ce n’est pas juste un fournisseur.
C’est celui qui écoute, qui comprend, et qui avance avec vous.
Cette approche a permis à Julien de repartir.

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