Comment une gouvernance de la donnée bien posée peut accélérer vos projets, améliorer vos décisions et réunir IT et métiers grâce à MyDataCatalogue.
Les communautés de communes doivent composer avec un système d’information éclaté.
Souvent, chacune de leurs communes fonctionne avec ses propres outils, ses propres formats, ses propres usages.
La donnée est difficile à rassembler, à comprendre…
Et encore plus à exploiter.
Pour Jérôme, chargé de la gouvernance de la donnée de la communauté de communes Maremne Adour Côte Sud, rassembler et exploiter des données de façon cohérente a été un vrai défi.
La communauté de communes MACS compte 23 communes qui bougent beaucoup : 75 000 habitants l'hiver, 110 000 l'été.
Et comme dans bien des collectivités, la donnée est partout.
Elle est mal partagée, mal comprise, et surtout mal exploitée.
Les services bossent chacun de leur côté, avec leurs fichiers, leurs termes, leurs chiffres et leurs outils, comme ils en ont l’habitude.
Résultat ? Faute de visibilité partagée, chacun avançait dans son coin.
À plusieurs reprises, la collectivité s’est retrouvée confrontée à des achats multiples ou à des projets en doublon… qui existaient déjà sous une autre forme dans un autre service.
Le quotidien de Jérôme devient alors un arbitrage constant entre des visions divergentes, sans pouvoir s'aider d'une base solide.
Pas de glossaire commun, pas de dictionnaire métier, pas de repères.
Il lui est presque impossible de trancher.
La stratégie data finit par prendre du plomb dans l'aile.
Les efforts ont été concentrés sur la volonté de connaître leur patrimoine de données.
Quatre services ont rapidement joué le jeu sur le nettoyage et sur la connaissance de leurs propres données : la DSI, l'Urbanisme, la petite enfance et le service juridique.
Poser les bases d'une gouvernance concrète avec un outil adapté
Jérôme sait qu’il existe des solutions pour cartographier, structurer et fiabiliser les données.
Alors, il se met en quête d’un outil simple à mettre en œuvre pour poser les bases d’une vraie gouvernance.
C’est en faisant une recherche en ligne qu’il découvre MyDataCatalogue, un module de la plateforme Phoenix.
Curieux, il demande une démo.
Et il découvre que cee n’est pas une démo générique qui l'attend, ni un discours commercial.
C’est une mise en situation réelle, sur le SI de la collectivité, avec les vraies données.
En quelques jours, Jérôme a vu la cartographie se construire, les silos apparaître, et un glossaire métier émerger.
C’est concret, rapide, mesurable.
Et surtout : l'outil propose deux interfaces parfaitement pensées.
- Une interface IT pour piloter les crawlers, configurer les connexions, gérer la collecte des métadonnées.
- Une interface métier, claire et accessible, où les utilisateurs peuvent retrouver leurs données, les enrichir et surtout les comprendre.
- Et un socle de gouvernance robuste, qui renforce la sécurité : identification des données sensibles, visualisation claire de leur cycle de vie, et préparation aux démarches de conformité (comme le RGPD ou la cybersécurité).
Ce double accès change tout : l’IT et les métiers parlent enfin la même langue.
C’est lisible, accessible et opérationnel.
Très vite, un glossaire partagé commence à émerger.
Et tout cela repose sur une plateforme SaaS.
Les bases sont posées pour une gouvernance durable.
Une gouvernance désormais basée sur des données homogénéisées
Quelques mois après, c'est l'heure du bilan.
Aujourd’hui, chaque service de MACS dispose de son propre glossaire métier, connecté à une base commune.
Fini les réunions pendant lesquelles chacun défendait "sa vérité" : tout le monde parle enfin le même langage.
Et surtout le DGS a optimisé les coûts liés aux outils, en supprimant les redondances et en rationalisant les achats.
Les données ne sont plus seulement accessibles, elles sont qualifiées.
Un système d’alertes permet de repérer les incohérences, les doublons ou les non-conformités.
Et comme les crawlers tournent en continu, la cartographie évolue en même temps que le système d’info.
Aucune rupture entre ce qu’on croit savoir et ce qui est réellement à jour.
Résultat : les démarches data prennent une autre dimension.
On sait qui est propriétaire de la donnée, où elle est, et comment elle est structurée.
Les métiers s’y retrouvent, les DSI également.
Et surtout, les décisions se basent enfin sur des données valables, explicites, partagées.
Mais ce socle de gouvernance va plus loin : il renforce aussi la sécurité.
En identifiant automatiquement les données personnelles ou sensibles, Jérôme peut mieux évaluer la surface d’attaque, anticiper les risques, et engager des démarches de conformité sans partir dans le flou.
Même les projets de partage inter-organisations deviennent plus simples à lancer.
Mais ça, ce sera l’étape d’après.
Pour l’instant, la communauté a posé un socle solide de données fiables, structurées et partagées.
Et ce socle change tout : il accélère tous les projets data à venir, des plus simples aux plus stratégiques.
Plus besoin de tout reconstruire à chaque fois : les fondations sont là.
C’est déjà une vraie victoire côté gouvernance interne.
Et surtout, un tremplin pour la suite.
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